"Symbole d’une politique culturelle du département innovante, le musée est un espace d’échanges et d’expression pour les artistes et un outil au service de tous les publics. Le musée, construit par l’architecte Jacques Ripault, est labellisé « Musée de France ». Une collection d’art contemporain de plus d’un millier d’œuvres reflétant la scène artistique en France depuis les années 50 jusqu’à la création la plus récente, enrichie par une politique d’acquisitions active, y est présentée.
Implanté en centre ville de Vitry-sur-Seine, à immédiate proximité de Paris, entouré d’un jardin public de 10.000 m2, cet équipement est doté d’une surface de 13.000 m2 dont 4.000 m2 sont dédiés aux expositions permanentes et temporaires.
Le musée est aussi un lieu de vie et de rencontres : le cinéma et sa programmation spécifique, le centre de documentation, les deux ateliers-logements d’artistes en résidence, la librairie Bookstorming, le restaurant et le jardin vous attendent !
De quoi c’est-y qu’on cause ???? Du Mac/Val (Musée d’art contemporain du Val-de-Marne) à Vitry en ce dimanche 21 janvier 2007. Beau début de journée, pluie sur Vitry. Seulement trois salles ouvertes pour cause de réaménagement. Intense impression de vide pour ne pas dire néant. Repli sur la librairie. Pas de chance, elle ferme totalement pour cause de pause de la préposée. Et pourtant il y a du monde dans le vaste hall…. Nous voici donc moins que positifs sur cette visite tronquée.
Cependant, il faudra y retourner pour voir le jardin, expérimenter le cinéma, tenter de trouver la librairie ouverte, suivre un conférencier pour une visite de toutes les salles réouvertes, y aller avec des enfants qui y sont très bien accompagnés, revoir quelques oeuvres de Dubuffet, tenter de comprendre et de dépasser le froideur des lieux de ce jour ! Rendez-vous donc au Macval dans une prochaine édition !
« Pénétrable » par Rafael Soto (Longs fils de plastique suspendus dans lesquels le visiteur s’engouffre.)
"The hands" (les mains) de Melik Ohanian (Installation vidéo qui nous montre les mains désoeuvrées d’ouvriers arméniens au chômage.)