Je vous ai déjà parlé du geai (Garrulus glandarius, glandeur – amateur de glands, tout simplement !) qui me rend visite tous les matins en ce moment ; sous les feuilles tombées, visiblement que de mets à déguster ou à cacher ! Il paraît qu’il cache beaucoup, provisions pour les temps durs, mais qu’il ne se souvient pas de ses cachettes… Ca me rappelle quelqu’une mais qui ???
Ne supportant pas les merles, son volume lui permet de rester seul maître au jardin. Goûte-t-il aux champis ou se contente-t-il d’avaler goûlement les mini limaces qui y font des tunnels ? Bon, je vous laisse, il est de retour, le spectacle va commencer !
PS : le geai des chênes est l’un des oiseaux chez lequel il n’y a pas de dimorphisme sexuel. D’autre part, comme il peut vivre 18 ans, ça nous laisse de la marge pour faire plus ample connaissance :o)