Histoire et mémoire du Perray-en-Yvelines : les rigoles
Suite à nos nombreux articles sur ce sujet absolument passionnant vous en conviendrez, notre correspondant MJ Masson nous fait part de son travail dont voici quelques extraits, merci tout plein à lui.
« …. Il n’y a pas un étang au Perray, il y en a trois ! L’étang du Perray, l’étang de Saint-Hubert et l’étang de Pourras ! Il y en avait même un quatrième qui a été asséché dans les années 1960, lequel ? Et bien « la mare aux bœufs » qui se trouvait au bout de a route de la Grande Brèche, dans le bois de la Pommeraie. Ce n’était pas une mare mais un étang puisque c’était un petit vallon barré par une digue… Avoir des étangs c’est bien, mais il faut les remplir…
Pour notre plus grand bonheur l’alimentation en eau de Versailles constitue un assainissement de la plaine du Perray même si telle n’était pas la finalité de l’opération…
La première rigole ne présente d’intérêt que parce qu’elle « équilibre » les eaux entre les étangs de Pourras et Saint-Hubert et du Perray…. Il y a celle dite du « Parfond »… Puis vient naturellement la rigole du « Pont Marquant »… Et enfin la rigole du « Coupe Gorge »… Il y a enfin la rigole des Vindrins qui se jette dans la rigole aqueduc de l’étang de la Tour juste avant la retenue du Perray, mais qui est entièrement située sur Auffargis. J’oubliais « les vidanges » de la Jaunière qui rejoignent la rigole plate à la sortie de l’aqueduc venant de l’étang de la Tour… »
Michel Jack Masson
Vous désirez lire la suite ? Rendez-vous avec le bulletin municipal du Perray (Le Perray-infos) ou sur le site de la ville. Les lignes qui précèdent sont extraites du buleltin municipal d’octobre 2008.