Sur une idée de notre reporter Michel Jack, nous avons enfourché les vélos sous un ciel splendide pour aller repérer l’emplacement du « chêne de la femme » au Perray-en-Yvelines.
Deux spécialistes du Perray nous parlent : Michel Jack et l’Abbé Jules Violette qui fit paraître en 1895 « Le Perray (Histoire de la paroisse depuis sa fondation jusqu’à nos jours)« . Le chêne de la femme n’existe plus depuis près de deux siècles. Au pied de ce chêne « apparaissait tous les soirs le spectre d’une femme gigantesque tout de blanc vêtue et ne parlant pas sauf quand on l’approchait… elle disparaissait alors en laissant derrière elle une fumée ayant une forte odeur de poudre. »… Personne ne passait alors sur ce chemin, vous pouvez y aller de jour, nous n’avons croisé personne ! De nuit, aucune garantie… Nous vous signalons juste qu’au bout du chemin du chêne à la femme se trouve… la rue de la Grimace !
Vous voulez savoir où se trouve l’emplacement du chêne de la femme ? Demandez !
Je connais bien ce chemin, j’habitai pas loin, cette histoire je la connais depuis que je suis petite, et ce chemin me faisais peur, de jour avec les champs où l’on trouvais des vaches et des chevaux, ça allais, mais de nuit je n’y ai jamais mis les pieds et encore moins par temps de brouillard. AH la la les histoire qui font peur aux enfants.
En vélo c’est un chouette tour mais à deux, je suis bien d’accord avec vous Pitch, les terreurs d’enfants remontent vite, même si c’est bête, quand la forêt se fait dense et sombre !!!
Et bien malgré que je soit adulte,de nuit j’irai toujours pas, dès fois que…