Première histoire à bâtir = gros flop, d’autant plus que ma copine Sauterelle était partagée entre faire ses valises de vacances et prendre la plume. Les valises avaient gagné. Mais ce coup-ci miss, je compte sur ta plume !!! Et sur la vôtre, lecteurs adorés !
Que vous inspire cette image ? Envoyez-nous votre histoire pour publication immédiate !
Mots-clefs : « cheval », « chaleur de juillet’, « téléphone portable », « Choisel ».
- 14/10/2009 : Michel Jack, reporter de la Chronique fargussienne : « De toutes évidences, le conducteur est en train de téléphoner alors qu’il conduit son véhicule. Attention aux gendarmes… »
- 14/10/2009 : Fanchette, amie de la Chronique fargussienne : «
« Trottes-tu tandis que le tintamarre
des criquets dans les herbes
des grenouilles dans la mare
des campagnols dans les fossés
emplit tes oreilles
Trottes-tu tandis que le blé chaud
refoulé au gré du vent
souffle une haleine de pain grillé
de terre sèche et de champignons
et emplit tes naseaux
Trottes-tu tandis qu’au loin
des hennissements profonds
des bruits de sabots
des cavalcades
emplissent tes souvenirs
Trottes-tu tandis que sur ton dos
l’animal que tu balades
n’a rien vu comme toi
n’a rien senti comme toi
n’a rien entendu comme toi.
Relié à un autre monde par l’appareil qui vibre, grince et emprisonne. »
De toutes évidences, le conducteur est en train de téléphoner alors qu’il conduit son véhicule. Attention aux gendarmes…
Trottes-tu tandis que le tintamarre
des criquets dans les herbes
des grenouilles dans la mare
des campagnols dans les fossés
emplit tes oreilles
Trottes-tu tandis que le blé chaud
refoulé au gré du vent
souffle une haleine de pain grillé
de terre sèche et de champignons
et emplit tes naseaux
Trottes-tu tandis qu’au loin
des hennissements profonds
des bruits de sabots
des cavalcades
emplissent tes souvenirs
Trottes-tu tandis que sur ton dos
l’animal que tu balades
n’a rien vu comme toi
n’a rien senti comme toi
n’a rien entendu comme toi.
Relié à un autre monde par l’appareil qui vibre, grince et emprisonne.
Fanchette merci, c’est beau, ça sent bon comme dans mes livres de petite école d’antan, j’entends crisser les feuilles sèches, merci !