C’est moi, l’attachat de cette formidable chronique ! Foin de modestie, j’y suis vraiment formidable.
Je vous présente ma lascive copine au prénom trompeur, Milton-Edouard. Mais j’ai su percer très tôt ce mystère et mon coeur bat pour elle blam, blam, blam, c’est assourdissant à la longue. Mais comment ne pas battre la chamade en voyant ce mignon bout de nez rose à souhait (gourmandise à pourlécher, macaron à la rose d’Ispahan, loukoum fondant), ces yeux en amande cernés d’un trait de khôl d’un noir profond et lumineux, ce sourire genre Joconde et ces doux yeux d’un doré étoilé ? Soupir.
Sur ce, bon dimanche à l’heure d’été et une vaste pensée pour tous ceux dont la vie n’égale même pas, loin s’en faut, celle d’une Milton-Edouard ou d’un attachat, ignorants chanceux que nous sommes !
j’en connais 2 qui vont être joyeux de chez joyeux !!!!
Moi « La Milton-Edouard » (si joliment encadrée… ) dans la si célèbre chronique !
Ah ! L’attachat poète : toutes les demoiselles rêvent d’un amoureux tel que toi !!! Soupirs profonds, extases, et… gros bâillements… je retourne donc à mon activité principale : la sieste,… en rêvant de Joconde, de loukoum, de rose d’Isp….