Pas d’orchidées pour miss Pompon ! Et voilà, encore une qui s’en va ! Ma pote à plumes, la gentille Pompon si bien élevée et apprivoisée par Tata Patricia et les siens, a terminé il y a quelques jours sa courte mais belle carrière dans l’estomac d’un matou affamé. NON, ça n’est pas moi ! Je n’aurais pas pu (mal aux dents…)
Ciao l’amie, je ne frémirai plus en te voyant soudain cogner aux vitres chez nous, entrer dans la maison en faisant un bruit de planeur mal réglé, tapoter au carreau du fargussien marcheur pour espionner ce qu’il fait là-haut, croûcroûter non-stop sous mon nez, faire des cajoleries sans fin à la cheffe, perché sur sa tête, ravir mes potes à mains potelées qui te réclament à cor et à cri. Plus de Pompon, leur dis-je, l’est au ciel où elle arpente les nuages d’un pas décidé, surveillant d’un oeil ce qui se passe en bas pour ne pas perdre le fil de l’affection.
Croûûûû… l’attachat tout tristounet