C’est encore lui, déjà croisé là : http…le-faisan-celte-et-livresse-des-grands-departs/
« L’ivresse des grands départs m’a cogné à la crête que j’ai petite mais avide d’espace interceltique voire intergalactique. Même pas besoin de vieille charrue pour avancer, ma bombarde au bec je trace la route, tout seul toute la sainte journée. » … disait-il…
… mais, à l’heure qu’il est, naviguant à vue parmi des milliers de jeunes pousses drues, et se posant maintes questions sur son avenir, proche comme futur, il avance pas à pas en criaillant en boucle la même strophe d’ « Un homme passe sous la fenêtre et chante » d’Aragon (1959) :
Nous étions faits pour être libres
Nous étions faits pour être heureux
Comme la vitre pour le givre
Et les vêpres pour les aveux
Comme la grive pour être ivre
Le printemps pour être amoureux
Nous étions faits pour être libres
Nous étions faits pour être heureux…