Et vlan, un grand choc dans la vitre d’une fenêtre de l’étage et paf, une toute jeune sittelle dans les vaps. Installée précautionneusement sur un lit de feuilles, eau à disposition, mademoiselle Torchepot est très mal en point, ne se redresse pas, respire très vite et n’arrive presque pas à ouvrir les yeux.
Quelques heures de repos plus tard, elle ouvre les ailes, puis, accompagnée sur une aire d’envol au jardin, part de guingois dans les basses branches du frêne. Ouf.
A propos, Torchepot, quel nom extraordinaire non ? « L’origine du nom semble avoir un lien avec l’aspect de la Sittelle et à son activité de maçonnerie avec torchepot. Selon le site Corif.net, le nom Sittelle se rapporte au mot grec sitte qui désigne un oiseau comme le pic vert selon Aristote. Pour la deuxième partie du nom, torchepot, on décompose cette partie en torchis et pot. Le torchis est un matériau naturel fait de boue ou terre mélangé à de la paille ou de fibres végétales et à la salive. L’oiseau se sert de son bec pointu pour maçonner l’entrée de la cavité lui servant à la nidification.«
Bravo les soignants !
tout est bien qui finit bien ! tant mieux !!!
Merci pour les photos et les commentaires. Vraiment intéressant !
Et merci aux sauveteurs de la petite sitelle !