Auffargis, ces années-là…
Quelques mots sur cette fête, Chers lectrices, Chers Lecteurs, ont leur nécessité.
Depuis début décembre, la couronne de l’Avent, avec ses quatre bougies, allumées l’une après l’autre dès le premier dimanche, est accrochée au lustre de la salle à manger. Et chaque dimanche nous entend chanter quelque chant de circonstance. Le 24 au soir, chacun s’habille en costume, cravate, chaussures, et la famille entière se dispose près du sapin, non loin du piano. Et les beaux chants de Noël résonnent dans la maison, après que la mère de famille ait lu les premières lignes de l’Evangile selon Saint Matthieu.
Puis vient le dîner – simple,voire frugal, et chacun rejoint sa chambre.
Mais pourquoi donc l’atmosphère est-elle si retenue, si réservée ? Il y a une raison pour que mes souvenirs soient ceux-là. Tant de choses dites, tant de choses retenues, Roland. Parce que mes frères, exceptionnellement, sont là ?
Voici que ma Chronique, cette évocation que j’aime tant vous faire partager, cherche un approfondissement – à le dire à ma manière, en tous cas.
A vrai dire, si les épisodes sont un texte complet et unique, à chaque fois, il y a un lien entre eux – qui peut le nier ?
A bientôt…
Merci pour la mise en ligne des 23 et 24, Hélène – Bon WE – Amicalement – Roland