Le 25 septembre 2015 La Chrochro publiait : « L’était un cognassier chargé à la fin de chaque été de lourds fruits pelucheux à la teinte jaune doré qui sentaient l’enfance à souhait. L’était une cognassière qui se régalait chaque année de voir les fleurs délicates s’épanouir, les fruits se former, puis à faire gelée, pâte et autre confit. L’arbre avait vaincu les bestioles (clic), inspiré poètes et Attachat défunt. L’arbre ponctuait les semaines d’automne de la cognassière.
Et pis crac, beaucoup de fruits, beaucoup d’eau, beaucoup de vent libre de ravager depuis que la forêt vierge des voisins à l’arrière a disparu snif. L’arbre s’est penché et a terminé sa course contre un poteau de corde à linge, peu glorieuse fin. Mes jardiniers lyonnais l’ont taillé, ont ramassé, cueilli, coupé et maintenant il y a comme un GRAND vide devant la fenêtre, snif. On ne dira jamais assez à quel point ça tient compagnie, un arbre !«
et puis… renaissance sous forme de buisson buissonnant. Pas mal de fleurs délicates et quelques coings en promesse. Des petits j’espère car les fruits d’origine ne pourraient être portés pour l’instant par les frêles ramures. A suivre.