Tout et n’importe quoi dans ce blog ?
Non ! Que de l’intéressant tous azimuts, non ?
Quoi qu’il en soit, voici un grand salut peiné à une des plus prenantes et parlantes voix de cette époque, une voix partie un jour récent d’été chanter à l’infini les nuits d’été d’Hector Berlioz et Théophile Gautier, car elle fut, comme l’immense Camille Maurane, une merveilleuse passeuse de mélodie ; diction, timbre, compréhension et coeur, tout y est. Adieu, Madame.
Plus sur Hector ICI et LA et LA, entre autres…
Que de la délicatesse, de la beauté, de la noblesse, et bien de l’humour dans les interventions (chantées ou parlées) de cette grande Dame. Ne rangez pas les vinyls ou approvisionnez-vous les nouveaux enregistrements CD : que du Bonheur !