1) « Elles » sont culottées !
Depuis quelques jours nous râlons contre ce voisin qui donne de vigoureux coups sur un poteau (?) tôt le matin. 6h45 ce jour, rebelotte et encore plus fort et encore plus près. J’entrebaille la fenêtre qui donne sur l’arrière de la maison, rien. Levée pour levée, je me dirige vers la cuisine et stoppe net en voyant les coupables : pas de voisin en cause mais deux pies qui donnent de vigoureux coups de bec sur les vitres de la fenêtre de l’entrée et ça fait un chahut !!! Comment les vitres résistent-elles? Que peuvent-elles donc bien avoir envie de prendre ? Mystère ! Affaire (très certainement) à suivre et photo peut-être…
2) « Il » commence (très) tôt le matin !
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Réponse à la question « quel arbre est-ce ? » : un cognassier qui a l’air de bien se porter cette année ! (Relire ICI les conseils de ma spécialiste préférée).
3) « Ils » sont partis, l’appartement est à nouveau à louer.
4) « Elle » vient d’échapper à la gueule du loup chat et, après un court séjour en saladier pour cause de photo, Mme Microtus Arvalis est partie fissa sous le noisetier :
Réponse à la question « qu’a-t-elle sur la tête ? » : un brin de paille de lin (j’étais en train de pailler mes fraisiers quand « elle » m’a appelée au secourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrs. Souvenir d’enfance : nous habitions un petit bourg de montagne, à l’époque nous étions une famille à vélo. Papa avait bricolé une remorque dans laquelle les enfants sautaient, ravis des promenades. Quand l’un des chats attrappait une souris ou un autre petit mangeur des jardins, la bestiole (si elle ne succombait pas à une crise cardiaque, auquel cas nous l’enterrions illico) était arrachée au sabre des matous, mise en cage avec du coton et des morceaux de papier pour qu’elle s’y cache, soignée, nourrie et câlinée. Une fois remise, Papa disait : le moment est venu de lui rendre sa liberté. Alors, les parents chacun sur son vélo, les enfants et la bestiole en cage dans la remorque, nous partions (loin nous semblait-il !). Arrivés au bon endroit, nous libérions solennellement la prisonnière en lui souhaitant de ne jamais revenir chez nous !
Très joli souvenir d’enfance ! Tu fais la même chose avec les taupes ?
Non :o))) Et de surcroît pas une seule taupe ici, j’espère qu’elles adorent le forêt vierge des voisins et qu’elles y resteront ! Si j’en vois, promis je te les apporte, en cage sur mon vélo…