Auffargis, ces années-là… Oui, la nature que ce monde livré à la technique semblerait faire passer au second plan ? En fait, il n’en est rien, car les forces à l’œuvre dans le monde na...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… Une fois encore, les souvenirs vivent leur vie ! Il y a une solennité dans notre fête de Noël, célébrée dans la discrétion de la maison familiale, accompagnée...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… Pourquoi j’écris, ce 1er novembre ? Parce que le souvenir de mes grands parents paternels, occupé à prendre soin de leur tombe, tout à coup m’a fait chaud – phy...Lire la suite
Auffargis,ces années-là… Les dernières roses fleurissent, le long de la plate-bande qui borde l’allée pavée, devant la maison. Le sol, tout autour du beau massif circulaire que mon père ...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… Cette route montante qui longe le mur de l’Abbaye des Vaux de Cernay, je l’ai longée, un peu plus tard, les lundis matin vers 7 heures, me rendant à Melun, où ...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… La vérité est romanesque, le roman est la vérité. Nous voici partis dans les Côtes, la crête forestière qui borde le village, et permet de rejoindre l’étang...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… Et si, chers lecteurs, l’élan qui m’entraîne à écrire avait été animé par le besoin, d’abord inconscient, de dépasser ce qui s’est réveillé dans mon...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… Evoquer, raconter, partager, sublimer… après n’avoir pas su partager. Flaubert écrivait la nuit, à coup de bols de café pour se tenir éveillé. Evoquer Auffa...Lire la suite
Auffargis, ces années-là C’est le silence qui répond au Grand Meaulnes, et confiant son enfant à son ami, il part à l’aventure… Sa route s’ouvre sur le monde, et la mienne, chers cecteurs...Lire la suite
Auffargis, ces années-là… Mais c’est le silence qui convient désormais, et l’évocation de ces années dans ce village d’alors, à l’orée des Vaux de Cernay. Le souvenir de l’insou...Lire la suite